Les Ecorcheurs
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 Aelona, barbare vive

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Aelona
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MessageSujet: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeVen 19 Juin - 2:31

Adossée au totem du Clan de ces créatures mi humaines mi loups, se tenait la une silhouette qui avait parcourue l'hyboria de long en large, par tout les temps, toujours avec un sourire et une énergie si caractéristique qu'une désormais célèbre parole de chaman la décrivait comme "la vive".

Cette silhouette possédait de longs cheveux, noirs comme les plus obscures ténèbres, un regard éclatant, aux reflets d'or, une poitrine avantageuse et des jambes élancées, fines mais musclées, qui lui permettaient de se déplacer tel le vent autour de ses ennemis, à une vitesse telle que les glaives, masses et lances de ses ennemis semblaient glisser sur sa frêle armure composée principalement de bandes de cuir qui lui entouraient la taille ... et le reste.

Elle avait dans le dos une lourde masse, au bout composé d'un massif bloc de roche taillé d'une façon particulière, de part et d'autre de sa ceinture pendaient deux glaives, l'un d'une forme quelconque, l'autre plus raffiné et disposant d'un manche d'or.

A en juger au premier abord, cette jeune femme semblait appartenir à la caste guerrière si rude qu'est la barbarie, bien qu'elle ne présentait aucun signe de maltraitance physique, de vilénie corporelle.

Il s'agissait la d'une guerrière disposant de plus de ressources qu'on osait le croire, ce qui l'amusait quand elle y pensait en se promenant parmi la simple population, ces gens avec lesquels elle n'avait au final, que peu d'intérêt, considérant la source de revenus comme non profitable.

L'or étant son nerf de guerre, la jeune femme traquait les contrats aussi impitoyablement qu'elle chargeait ses ennemis, jugeant les temps assez dangereux pour se mettre à disposition : elle était donc mercenaire.


Derrière elle se tenait l'un de ces massifs conquérants, ce genre d'homme qu'il ne valait mieux pas chercher.

Il tenait une bannière massive, au drapeau flamboyant, couleur sang, sur lequel les couleurs d'une certaine guilde étaient apparents : il s'agissait la des Ecorcheurs.

A en juger ce tableau assez improbable, il semblait que la bannière était posée juste à coté de la guerrière : elle devait sans doute être l'une des gradés du clan.
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeLun 14 Déc - 15:57

C'était l'une de ces nuits qui vous fait regretter le climat des contrées situées au sud du continent, ce genre de nuit ou même la plus infime source de chaleur était la bienvenue.

Nous sommes dans un petit village, sans prétention, sans richesse, ou se tenaient la de simples paysans ainsi que des hommes et femmes d'armes à la stature imposante et à l'art du combat si brutal qu'ils pouvaient fendre en deux des buches de bois au simple tranchant des paumes de leurs mains.

Ce village était particulier : il n'y avait pas de familles. Les enfants étaient livrés aux loups. Rassurez vous, ces loups la étaient dressés par des hommes à ... élever des hommes, aussi incroyable que cela puisse paraitre.

C'est lors de cette nuit glaciale que l'un de ces enfants livré à la nature allait retourner chez lui ...


Il s'agissait la d'une enfant ... ou plutôt d'une jeune femme si on observait la silhouette fine et frêle qui avançait dans l'obscurité et le brouillard.

Elle était vêtue de peaux d'animaux et d'une fourrure, sans doute le résultat d'une chasse. Elle avait dans son dos une masse fabriquée de toute pièces, et sur chaque coté de ses jambes pendaient des petites haches, adaptées à ses petites mains.

Ce n'était pas la le travail d'un forgeron, ho non : elles ressemblaient à de vulgaires outils fabriqués pour trancher dans le vif. Ce qu'elle faisait en fait plutôt souvent.

La démarche lente, elle s'avançait à présent vers la herse en bois qui faisait office de porte pour entrer dans le village.

Un homme la regarda, lentement, la détaillant des pieds à la tête, puis siffla : la herse monta alors, libérant le passage.

La jeune femme entra, puis on la saisit alors pour l'amener vers une sorte de petite hutte.


Se tenait la un chaman, jouant avec ses osselets, qui avait manifestement préparé un rite pour elle : un petit bol rempli d'une sorte d'encre noire fumante était à ses pieds.


La vive ... te voila enfin.

Silencieuse, elle observa le chaman ramasser le bol, puis il prit un outil pointu et en trempa l'extrémité dans l'encre


Approche ...


Il piqua alors la peau puis tira un trait noir en dessous de chacun de ses yeux.

Toujours en silence, elle attendit que cela se finisse. Une fois fait, elle se releva, puis se fit emmener dans une autre hutte.



Tu vas dormir ici, Aelona. Demain, tu pars.


Elle sourit alors, d'une si grande chaleur que l'homme préféra détourner son regard plutôt que d'éprouver de la sympathie.

Au lendemain matin, les gens virent enfin le fruit de l'éducation des loups sur une des rares progénitures qui avait survécue (bien que l'éducation était faite par les loups, il y avait un homme qui gardait la meute au cas ou l'enfant se fasse dévorer : il s'occupait aussi de lui apprendre le langage des hommes).


Elle marchait sans faire de bruit, à demi nue malgré le froid. Elle n'éprouvait pas le besoin de se vêtir, ou d'échanger avec des gens, toujours avec ses haches, au cas ou.

Il y avait quelque chose de bestial dans son regard, quelque chose de très instinctif.

Elle se mit alors à couper du bois d'une façon assez particulière avec ses haches.


Un homme rit alors, et l'interpella.


Hé, Barbare, viens donc tater de ma buche aussi, dans cette tenue ça d'vrait pas trop te déranger non ?


Toujours toute sourire, elle s'éxécuta et avançant vers l'homme avec une démarche très féline ... l'homme naïf croyant avoir décroché le gros lot se fit alors égorger d'un mouvement si sec que peu de gens avaient vraiment vus ce qu'il s'était passé.

Elle ria alors, alla chercher la peau qui recouvrait intégralement son torse, vit l'homme qui l'avait couchée la veille, et lui dit :


Je suis prête.


[i]Marchant alors pendant trois jours jusqu'à une embarcation maritime, elle se demandait comment sa vie allait se passer.

Et elle comprit alors qu'elle avait été trahie ... puisque vendue à des esclavagistes.

Fulminante de rage mais impuissante face à l'équipage qui avait débarqué pour l'enlever, Aelona ne put rien faire d'autre qu'accepter son sort ...


Mais, pendant sa traversée, un accident survint et la voila échouée sur l'île dite des barrachas.

Inconsciente, totalement exposée un au soleil, elle était totalement démunie face à l'environnement ... mais elle se réveilla au bout de quelques heures, pile quand un homme assez âge, répondant du nom de Kalanthes, vint lui parler avec un ton mystérieux.

Elle traversa alors la jungle et trouva Tortage, une ville remplie de pirates et de brigands, et ou l'ordre était dur ... Elle fit la la connaissance d'une étrange femme accompagnée d'un démon qui s'appellait Tristesse, et d'une archère nommée Odancia.

Ce sont avec ces personnes que son périple commence en Hyboria ...
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeLun 14 Déc - 21:40

La Barbare fit son petit bonhomme de chemin, puis arriva à Tarantia, dorénavant nommée Tarantia La Vieille car certains quartiers sont maintenant en ruines, séquelles de la guerre.

On lui donna alors une tache : récupérer un médaillon fragmenté, vestige d'une divinité oubliée qui pouvait lui ôter son amnésie.


Elle se rendit alors à différentes régions, combattant sans mercis les forces du nouvel ennemi du royaume Aquilonien : l'Acheron.

Une horde noire païenne, sans merci, assoiffée de chair et de sang, ne visant que l'extermination et la domination globale.


Alors que dans une immense salle, agonisante, prête à mourir, la barbare vivant ses derniers instants en faisant face à un très puissant mage noir qu'elle ne put même pas attaquer, elle sentit une douce brise de vent, agréable, chaude, envelopper son corps.

Cette brise la soutenait et lui apportait vigueur, elle put alors combattre de toutes ses forces et terrasser son ennemi, récupérant ainsi le dernier fragment du médaillon.

Voulant savoir d'où cette brise magique provenait, elle n'eut pas à chercher longtemps lorsqu'une voix se fit entendre.


"Alors barbare, quelle idée de se balader seule dans un coin pareil."


- Qui me parle ? montres toi, homme !


"Mais bien entendu, je ne suis pas vraiment du genre à me cacher. C'est le temple qui m'envoie, les anciens pensaient que tu avais besoin d'un coup de main pour vider cette Pyramide ... j'arrive un peu en retard mais finalement, mieux vaut tard que jamais."



Et c'est à cet instant qu'il fit son apparition.

Une grande silhouette, taillée dans le roc, arborant une chevelure blanche comme la plus pure des saintes frusques de Mitra.

Il portait une robe rouge, et paraissait jeune pour un prêtre.


"Alors, je suis si impressionnant que ça ?"

Et la barbare s'évanouit dans un hurlement si fort qu'il fit trembler la pyramide entière.

"Mais qu'est ce que ?! Il faut vite que je la ramène au temple !"


Trois jours plus tard, dans une chambre du Temple de Mitra situé à Tarantia la Vieille


"Alors, alors, on s'évanouit quand j'apparais, ce n'est pas vraiment gentil ..."


Le prêtre regardait la barbare droit dans les yeux.


"Encore heureux que je sois arrivé à temps quand même, quel dommage ça aurait été de perdre une si robuste guerrière"


La barbare mis un doigt sur la bouche du prêtre.


- Je me souviens ... je me souviens de tout.

"Oui, moi aussi, je sais que j'arrive toujours à point nommé, que veux tu, c'est cela avoir la classe de Mitra, et je ..."

*souriante* Hé, ne vous donnez pas l'importance que vous n'avez pas. J'aurai pu tuer ce démon toute seule.


- Bon, et bien merci Monsieur le sauveur, mais j'ai comme qui dirai du travail à faire et *crie* aaaaaie, mais que


"Doucement guerrière. Tu as quand même de sérieuses blessures. J'ai beau être arrivé à temps, il n'en reste pas moins le fait que tu dois te reposer."


Il la fixa sérieusement.


"Et j'espère que tu seras rétablie à temps. Ton Roi veut te voir. Enfin pour le moment il ne peut pas, ce sera un émissaire que tu rencontreras. Il a une tache à te confier. Enfin, à nous confier."

- Comment ça, nous ?

"Et bien, tu as beau exceller au combat, je n'en reste pas moins un prêtre qui sait maintenir les gens en vie, et je suppose que tu auras besoin d'aide la ou le Roi t'enverras. On m'a chargé de veiller sur toi. Et je ne peux faire autrement étant donné que tu as combattue pour nous il y a dix ans"

- C'est hors de question. Ce sera ma force contre le mal.

"Et bien entendu, je serai la dans deux jours, pour te soutenir. Ha au fait, si je puis te conseiller quelque chôse, c'est de trouver des vêtements chauds, nous en aurons besoin"

- Mais je viens de dire que ! ...

"Qu'il n'y a pas de problèmes pour que je te suive" dit le prêtre d'un air amusé.


Le jour J, la barbare alla voir l'émissaire, qui lui fit part d'une de ses premières missions : elle devait aller aux Monts Eiglophiens, terrasser la menace cannibale qui y régnait.

"Quand ce sera fait, j'aurai quelque chose de bien plus dangereux, et naturellement, de bien plus grave à vous confier. Faites de votre mieux."


- Le nom de mon Roi sera écrit en lettres de sang dans la neige, et répandu sur une montagne entière, soyez en sur, dit la barbare à l'émissaire.


"Oui, enfin on va éviter la tuerie gratuite, je n'en suis franchement pas partisan"


La voix agaçante se fit entendre, et la barbare se retourna..


- Tu es encore la toi ?

"Toi, il a un prénom."

- Gna gna gna. Dis toujours


Il fixa la guerrière de son air le plus froid et sérieux.


"Anastrophene. Anastrophene Dantes"


- Aelona, Aelona tout court.


C'est alors que l'improbable duo se rendit ensemble aux Monts Eyglophiens

Ils ne savaient pas encore qu'ils allaient devenir amants.

Ils ne savaient pas encore qu'Anastrophene déclarerai sa flamme, et qu'Aelona ferai une inattendue demande en mariage.

Ils ne savaient pas la tragédie qui allait arriver après que cette demande se vit refusée par le conseil des Anciens.

Ce qu'ils savaient, c'est qu'ils ne pourraient jamais être séparés.

D'aucune manière que ce soit.

Et que l'un ou l'autre ferai tout pour remettre dans le droit chemin sa moitié si quelque chose devait lui arriver.
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeLun 14 Déc - 21:47

Rarement anastrophene s’était laissé aller à la fureur, au doute et à l’amertume… C’était la compassion qui guidait la quasi-totalité de ses actes…

C’est d’ailleurs principalement pour ça, plus que par tradition que son père, Percephane Dantes, l’avait encouragé à suivre la voix de la prêtrise

« Une voix difficile fils, la voix du sacrifice et du don »

Jamais anastrophene n’avait eu de doute quand au bien fondé de sa voie, malgré les horreurs de ce monde, malgré la guerre, malgré la souffrance…

Dévoué… Jamais il n’avait demandé quoique ce soit pour lui-même… Après tout, ses bonnes actions lui suffisaient…

Alors… quand pour la seule fois de sa vie, il alla solliciter la bienveillance de l’ordre des sages, leur demandant de bénir l’union indéfectible qui le liait à Aelona et que ceux-ci refusèrent, et bien il su à ce moment là que plus rien ne serait pareil…

Il alla voir Kaliostro, son frère… lui qui avait cédé au coté obscur et qu’il essayait de sauver… il sentit toute la froideur de l’âme du templier… et il l’écouta parler, du sacrifice de son âme, se laissant envahir par le côté sombre des propos du maudit…

Il se rendit ensuite en la bibliothèque de Tarentia… Peut être trouverait il ce qu’il cherchait et qui était si tabou pour l’ensemble de ceux de son ordre : la voix du pretre noir… délivré de mitra et de ses principes… maîtrisant le feu purificateur de la vengeance…

« Les ouvrages en question ne sont pas accessible à la plèbe, par ordre du roi ! et pour le bien de votre santé mentale jeune pretre » lui dit le conservateur de l’aile esothérique…

Qu’a cela ne tienne, il n’était pas si complexe d’enrôler quelques brigands…


Cette nuit là le vieux percephane se réveilla en sursaut… la paix qu’il avait trouvé depuis qu’il était à la retraite (ancien conquérant, capitaine de la 4eme légion du phoenix, percephane avait repris une affaire de négoce de bois) était ébranlé… il sentait dans ses trippes qu’un malheur allait se produire… lui qui avait déjà perdu son premier fils…
Alors il saisi l’ancien plastron de maille qui l’avait protégé de bien des coups, l’ajusta à sa taille, c’est qu’il avait pris du poids depuis la retraite, enfila l’écharpe que son roi lui avait remis le jour de son départ de l’armée…

Regardant le ciel, il dit : « fils, je viens pour toi »


Dernière édition par Aelona le Lun 14 Déc - 21:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeLun 14 Déc - 21:47

Aelona, secouée, se remet de cette nouvelle contée par un prêtre du Temple de Mitra de Tarantia la Vieille.

Elle saisit immédiatement un long morceau de papier, une enveloppe et de quoi la cacheter proprement. Elle était barbare certes, mais savait décemment utiliser l'écriture



Anastrophene, mon bon Anastrophene, que fais-tu ?

Quel est ce changement si radical, cette haine perceptible au fond de mon âme ?


*réfléchis*

Ecoute-moi bien, noble et doux prêtre.

N'entends que mes mots, fais abstraction du reste.


Il y a une différence singulière entre la volonté des sages et la volonté de Mitra.

Les sages se prennent pour les teneurs de la conduite parfaite, basée sur une tradition qui se transmet d'âge en âge, de génération en génération.

C'est un fait d'approuver et de désapprouver certains comportements, et les actes des prêtres sont on ne peut plus généreux et bons.

Mais ces traditions séculaires ont elles toujours raison ?

Tu peux embrasser une voie, et n'être qu'un émissaire, pas un intégriste, c'est ce que les sages cherchent à réunir, mais il existe bon nombre de prêtres qui ne se soucient guère de respecter cette unification.


Les prêtres de Set peuvent avoir des compagnes, il me semble, qu'ils élèvent au rang de Reine.

Si je suis unie à et pour toi, c'est tout comme ces prêtres Stygiens, par amour, et je pense que Mitra, déesse de la sagesse et de la bienveillance, ne peut qu'approuver ce mariage.

Je te rappelles que j'ai combattue par le passé pour sauver un temple de Mitra, et même si je me suis fait emprisonner par la suite, je n'ai jamais eue le moindre remerciement.

Peut-être que cette occasion pourra se présenter si tu me présentes aux anciens.

L'homme que j'aime ne peut résolument changer si radicalement en si peu de temps, j'ai confiance en toi, tu m'as si souvent aidée, et je n'ai pas encore eue l'occasion de te rendre la pareille.


Que ton père puisse entendre un jour mes mots, mon prêtre, car c'est du cœur qu'ils proviennent, et Mitra se charge de les soigner jour après jour.

Oublie les anciens, mais ne deviens pas un renégat pour autant, ton nom est certes évocateur d'une fureur maudite, mais je préfère que tu te lances sur le champ de bataille avec toute ta hargne envers tes véritables ennemis, que tu ne jettes ton dévolu en incendiant des innocents.


Car si un jour tu en arrives la prêtre, je serai la lame qui t'ôteras la vie, et rien ne pourra m'en empêcher.

Car si tu deviens ennemi du peuple aquilonien, alors ta route croisera la mienne, pour la dernière fois.


Et je ne le veux pas.



Elle donna l'enveloppe à un prêtre du temple qu'elle estimait suffisamment trop occupé à louer Mitra pour qu'il porte une quelconque attention au destinataire, et il partit la caler sous le calice qui portait son nom, bien tamisé dans une pièce qui manifestement, recensait les différentes personnes du Royaumes qui vinrent pour la première embrasser la voie de Mitra


*Pense*

Il faut que je trouve son père, nous avons à nous parler.


*Parle tout bas*

Bon, on va bien voir avec la description donnée par le prêtre, j'espère qu'il vient par ici.




Mais ... le malheur était déjà fait. Ayant vent de cette traitrise, le conseil de Mitra envoya deux assassins pour ramener le prêtre à la raison ... ce qu'il ne fit pas, et il fut égorgé alors qu'il s'adonnait à un rite sacrificiel.

La barbare le sut bien après, par le père d'Anastrophene qui ne retrouva jamais son fils.

La raison du cœur de la vive était morte, aussi avait elle décidée de faire parler le sang.
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitimeMar 15 Déc - 12:48

...et dire qu'elle ma demandé en mariage fut un temps *touche sa gorge*
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MessageSujet: Re: Aelona, barbare vive   Aelona, barbare vive Icon_minitime

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